vendredi 30 novembre 2018

Les états d'esprit du vendredi [30 novembre 2018]

C'est vendredi ! Le jour des états d'esprit organisés par  The Postman et Zenopia : 

Jour ☞ vendredi 30 novembre 2018
Heure ☞  23 h 11
Fatigue ☞ oui mais c'est normal à cette heure-ci
Humeur ☞ très bonne
Estomac ☞ RAS
Condition physique ☞ faut patienter en attendant les effets de la cure
Esprit ☞ curieux de tout
Boulot ☞ j'en cherche
Culture ☞ il y avait tout à l'heure une lecture à la librairie, "La place" d'A. Ernaux. Très bonne écoute de l'auditoire.
Reste à ☞ me renseigner auprès des impôts
Penser à ☞ me reposer
Avis perso ☞ j'aide à la collecte de la banque alimentaire pour "faire ma part" de solidarité.
Message perso ☞ Tu connais mes failles mieux que moi-même
Loulous Petits félins ☞ RAS
Amitiés ☞ épatantes
Love ☞ Joker !
Sorties ☞ Hier, j'ai assisté à un spectacle fabuleux de cirque "Machine de cirque". Dimanche, animation "contes" dans un village voisin où j'aime aller.
Essentiel ☞ éviter les personnes toxiques
Divers ☞ ouf, la cure s'est terminée aujourd'hui
Courses ☞ marché local demain matin
Envie de ☞ balades dans la nature
Image du jour 

Fin ☞  23 h 23

Une expression par jour # 334

L'expression du jour (à placer dans une phrase ou un petit texte) :


Puits de science
Personne extrêmement savante

Il y avait ce soir à la librairie une lecture, ah ! j'adore ces lectures. Il y avait pas mal de monde, contrairement à la soirée de la veille... J'étais très heureuse d'y retrouver plein d'amis. Merci à Alain qui m'a offert un coup à boire ; j'étais au jus de raisin et les autres auditeurs au vin. Merci à Claudine qui m'a ramenée à la maison, il était tard et le temps très humide. Merci à N. qui est un véritable puits de science, avec qui il est toujours si agréable d'échanger ! Ce qu'on se sent bien dans ces soirées !

Cycle 13, 2168è jour


Merci à René de nous avoir ramené de son jardin
ces trois belles citrouilles
ainsi qu'un carton de pommes de terre !

jeudi 29 novembre 2018

Une expression par jour # 333

L'expression du jour (à placer dans une phrase ou un petit texte) :


Bisque ! Bisque ! Rage !

Formule enfantine destinée à faire enrager un adversaire et à s'en moquer.

Origine :
Si la bisque de homard est incontestablement une excellente préparation culinaire, elle n'a pas grand chose à voir avec la « bisque » de notre expression.
En effet, notre « bisque », qui signifie colère, mauvaise humeur ou dépit, vient du verbe «bisquer» dont l'étymologie est controversée qui, assez logiquement vu le sens de «bisque», signifie « éprouver de la colère ou du dépit ». Ne dit-on pas toujours « faire bisquer quelqu'un » lorsqu'on le titille jusqu'à un possible énervement ?
Notre expression enfantine est constituée de trois impératifs « ordonnant » au destinataire de se mettre en colère, d'enrager, généralement dans le but de s'en moquer.


Ce fut une journée intense. Avant-dernier jour de ma cure, et avant de partir, je prends un pot avec un Ami ; nous en profitons pour refaire le monde comme à chaque fois qu'on se voit. A peine arrivée, je me rends chez le coiffeur, oh que ça fait du bien d'avoir une belle coiffure. Je rentre à la maison et avec le fiston nous allons à la ferme puis à la boîte d'intérim où j'apprends que finalement, je ne ferai pas le remplacement (pour des raisons de paperasse en partie de ma faute, bisque, bisque, rage !!!). J'avale un bol de soupe puis vais à la librairie où avait lieu une rencontre avec un auteur, puis le fiston me rejoins pour me déposer au spectacle de cirque de la semaine, jamais nous n'avons vu un tel spectacle, extraordinaire. Des Amis me ramènent à la maison, ouf ! 

Cycle 13, 2167è jour


un peu avant midi...

365 jours en 2018 avec Flow # 333


Les larmes peuvent apaiser

mercredi 28 novembre 2018

Une expression par jour # 332

L'expression du jour (à placer dans une phrase ou un petit texte) :


Ne pas tarir d'éloges
Être très élogieux.

Origine : 
Que sont les éloges ? Des éloges, mot venu du grec eulogia, pour louange ou belle parole, ce sont ces compliments que tout homme normalement constitué aime recevoir en quantité ; ces félicitations qu'on aime entendre après un acte de bravoure ou après avoir réussi un véritable défi...
Et quand les éloges arrivent en grande quantité, unanimement prononcés par les individus présents autour de soi, on peut les considérer comme un flot de paroles très agréables dont on aimerait qu'il ne s'arrête pas.
Or, quand un flot arrête de s'écouler, c'est que la source est tarie.
Notre expression n'est donc qu'une simple métaphore qui assimile les éloges nombreux (et parfois mérités) à un flot qui ne tarit pas.

Avant-hier, je suis allée à l'avant-première de "Sauver ou périr" et ne taris pas d'éloges sur ce film qui est, il faut bien le dire, éprouvant mais positif, sans pathos, essentiel ! Il est sorti aujourd'hui, allez-y !

Cycle 13, 2166è jour


Merveilleux crépuscule à l'instant...


et quelques minutes plus tard...

365 jours en 2018 avec Flow # 332


mardi 27 novembre 2018

Une expression par jour # 331

L'expression du jour (à placer dans une phrase ou un petit texte) :

Ric-rac / Ric et rac
Avec exactitude ou précision. De justesse.

Origine :
Cette histoire de ric et rac semble commencer au XVè siècle, sous la forme "ric-à-rac". 
Elle est construite à partir du radical onomatopéique "rik-" lié à la petitesse (qu'on retrouve dans riquiqui), et de sa variante "rak-".
À cette époque, son premier sens est complètement, mais il reste inexpliqué.
Puis, sa forme évoluera, puisqu'on va trouver riqueraque au début du XVIIe siècle, "ric-à-ric" au XVIIIè et enfin "ric et rac", écrit également "ric-rac", avec les deux sens indiqués à partir du début du XIXè.

Exemples :
« Nous sommes bien chaussés, bien vêtus et payés ric-rac. Il y a du froment, du riz, de la polente. On met de la viande au pot, et l'on boit souvent le petit coup. »
Joseph de Maistre - Lettres et opuscules inédits

"On avait tout juste pour la croûte et encore c'était ric et rac"
Louis-Ferdinand Céline - Mort à crédit

Cet après-midi, avec mon grand, nous sommes allés voir un spectacle que son papa donnait dans une maison de retraite. Nous sommes arrivés ric-rac car des travaux aux alentours exigeaient de faire un bon détour. 

Cycle 13, 2165è jour


Rencontre 
en me rendant chez le médecin thermal,
merci pour ce charmant récital

365 jours en 2018 avec Flow # 331


lundi 26 novembre 2018

Cycle 13, 2164è jour


Elle diminue mais elle éclaire encore beaucoup !

Une expression par jour # 330

L'expression du jour (à placer dans une phrase ou un petit texte) :

  
Les bras m'en tombent !
Je suis stupéfait ! Je suis accablé !

Origine :
Ne vous est-il jamais arrivé, alors que vous étiez en train de faire quelque chose, d'être tellement surpris par un événement quelconque que vous avez été temporairement dans l'incapacité de continuer ce que vous faisiez ?
C'est cette impuissance temporaire qui est symbolisée par les bras qui tombent et rendent incapables de la moindre action.
La deuxième signification, moins habituelle, correspond à la personne qui est tellement atteinte par ce qui lui arrive ou ce qu'elle voit, qu'elle en perd toute volonté ou possibilité d'agir.
Cette expression est citée pour la première fois par la version de 1762 du Dictionnaire de l'Académie Française. On peut donc supposer qu'elle date de la fin du XVIIe siècle ou de la première moitié du XVIIIe.

Comme chaque lundi, j'étais à l'atelier de Pôle Emploi. Nous avons eu le plaisir d'apprendre que 2 participantes étaient absentes car ayant trouvé un travail, certes temporaire, mais un peu de travail. Nous avons raconté nos fameuses "enquêtes métiers", y'en a une qui a dit qu'elle n'avait rien fait, elle l'a dit en toute franchise, et elle a en effet des circonstances atténuantes, sinon, les bras m'en seraient tombés. Comme quoi il ne faut jamais porter de jugement sans savoir.

365 jours en 2018 avec Flow # 330


dimanche 25 novembre 2018

Une expression par jour # 329

L'expression du jour (à placer dans une phrase ou un petit texte) :

Rester sur l'estomac
1. Être difficile à digérer
2. Être difficile à accepter, assimiler

Origine : 
Tout le monde connaît, pour l'avoir expérimenté, le sens propre de cette expression, le premier proposé ici : après des libations trop copieuses ou après avoir avalé des mets un tantinet avariés, la digestion est très difficile et les sensations ressenties à hauteur de l'estomac sont désagréables.
La nourriture ou la boisson donne l'impression de rester sur l'estomac au lieu de, emportée par la gravité et les mécanismes digestifs usuels, suivre son chemin normal vers une inexorable expulsion, le sur accentuant l'idée de poids gênant au lieu d'un dans plus naturel (d'ailleurs, il existe aussi la version peser sur l'estomac).
C'est depuis le début du XIXe siècle qu'on trouve cette expression dans son sens premier, la forme avec peser, devenue un peu plus rare, datant elle du milieu du siècle précédent.
Mais, au figuré et depuis le XVIIe siècle, au dit aussi qu'on «digère» mal une déconvenue ou une mauvaise nouvelle lorsque celle-ci a autant de mal à être acceptée ou à «passer» que les aliments avariés ou en excès à passer vers les intestins.
Voilà comment, à partir d'une sensation physiologique désagréable, la signification initiale de l'expression est passée métaphoriquement à un sentiment pénible ; sans oublier qu'au XVe siècle, par extension, le mot estomac désignait aussi le cœur supposé être le siège des sentiments (ne dit-on pas qu'on est écœuré, lorsqu'on a envie de vomir ?).

Ce fut un dimanche tranquille, passé avec les enfants car ma fille ayant la grippe, pas de dimanche chez papa. J'ai cuisiné ce matin les jolis légumes ramenés de la ferme ; ils ne nous sont pas du tout restés sur l'estomac. Les choux-fleurs colorés sont des variétés agréables au goût et tout le monde connaît maintenant le fabuleux romanesco.

Avant cuisson...

Après cuisson (à la vapeur)
avec du poulet aux oignons

52 photos en 2018 avec Bottes Rouges # 47 "champs"





Il y a quelques jours...

Cycle 13, 2163è jour



Résolution(s) de la semaine # semaine 47

- Tenir les diverses rubriques commencées avec enthousiasme le 1er janvier

- Me tenir à LA résolution de mon grand-père maternel : lire chaque jour un mot dans le dictionnaire.

Mots de la semaine :  
Jour 1 : bissextile (adj. fém.) Se dit de l'année de 366 jours qui revient tous les 4 ans et dont le mois de février comporte 29 jours.  
Jour 2 : bistre (n.m.) Couleur d'un brun noirâtre
Jour 3 : bistré, ée (adj) d'un brun noirâtre
Jour 4 : bistro ou bistrot (n.m.) Fam. Café, troquet.
Jour 5 : biture ou bitture (n.f.) Fam. Prendre une biture : s'enivrer.
Jour 6 : bivouac (n.m.) Installation provisoire en plein air de troupes de campagne. Lieu où la troupe est installée.
Jour 7 : blackbouler (v.tr.) Mettre en minorité par un vote.
Fam. Refuser à un examen, coller.

- Choisir chaque semaine une ou des idées dans les bouquins suivants : "invitation à la lenteur", "l'art de la simplicité", "Mon coach bien-être", "cahier d'exercices pour aller à l'essentiel"... et dans des revues "Kaizen", "Flow", "Calme", "Respire", "Happinez"...
Y réfléchir, en appliquer certaines.


Cueillette de cette semaine :


365 jours en 2018 avec Flow # 329


J'ai pris cet aprem des photos de passiflores
afin de préparer une carte d'anniversaire
pour une de mes nièces qui aime la Nature.

samedi 24 novembre 2018

Une expression par jour # 328

L'expression du jour (à placer dans une phrase ou un petit texte) :

De nature à
Susceptible de, propre à



Ce fut un samedi très très chargé. Cure le matin. Comme les horaires de bus du samedi sont différents et réduits, je suis rentrée juste à temps pour rejoindre "la marche contre les violences faites aux femmes" puis je suis allée voir l'action d'un ami artiste, puis mon fils m'a déposée au concert de la sainte-Cécile. Ouf, j'y ai retrouvé une de mes voisines, ainsi elle m'a ramenée en voiture. Cela m'est souvent pénible de devoir toujours demandé à quelqu'un de me véhiculer... au moins en ce moment, j'ai mon grand qui est là, de nature à pouvoir me rendre ce type de services...
C'est toujours agréable d'aller écouter notre orchestre chaque année ; là c'était le premier avec son nouveau chef d'orchestre. Il y a eu en 1ère partie l'orchestre de cuivres du Conservatoire. A la fin de la prestation, les nouveaux musiciens ont été présentés, c'est la tradition. Bravo à tous !



Cycle 13, 2162è jour


Nous étions environ 130 participants 
à la marche contre les violences faites aux femmes
à l’appel du collectif féministe "Nous Toutes".

24 heures photo # 168


ça se passe chez  http://chemindetables.over-blog.com/



Ce matin, à la gare...

365 jours en 2018 avec Flow # 328


vendredi 23 novembre 2018

Cycle 13, 2161è jour


Les états d'esprit du vendredi [23 novembre 2018]

C'est vendredi ! Le jour des états d'esprit organisés par  The Postman et Zenopia : 

Jour ☞ vendredi 23 novembre 2018
Heure ☞  22 h 22
Fatigue ☞ un peu, mais pas tant que ça
Humeur ☞ bonne, joyeuse même
Estomac ☞ comblé avec un chili con carne maison
Condition physique ☞ comme pendant une cure (allez, plus qu'une semaine)
Esprit ☞ enthousiaste
Boulot ☞ je devrais faire un remplacement dans un bureau le mois prochain
Culture ☞ abondante ces temps-ci
Reste à ☞ prendre rendez-vous chez le coiffeur
Penser à ☞ inviter certaines personnes prochainement
Avis perso ☞ enfin !
Message perso ☞ faut y croire !
Loulous Petits félins ☞ le grand n'a toujours rien de nouveau ; le second nous a dit qu'il descendrait pour Noël ; la "petite dernière" est depuis hier alitée avec la grippe
Amitiés ☞ épatantes !
Love ☞ Joker !
Sorties ☞ Il y avait ce soir une conférence gesticulée d'Aline Fares "Chroniques d'une ex-banquière !", très intéressante ! Demain, il va falloir faire des choix... Repos dimanche !
Essentiel ☞ ne pas oublier les Amis
Courses ☞ on a été à la ferme hier. Je devrais avoir le temps d'aller au marché local de Dax demain matin.
Envie de ☞ en avoir fini avec cette cure !
Image du jour 

Fin ☞  22 h 47

365 jours en 2018 avec Flow # 327


jeudi 22 novembre 2018

Cycle 13, 2160è jour



Excellente soirée théâtre : "NOVECENTO"
une pièce d’Alessandro Baricco 
interprétée par André Dussolier et 4 musiciens

365 jours en 2018 avec Flow # 326


mercredi 21 novembre 2018

Cycle 13, 2159è jour



Il fait froid, on a fait de la soupe...

365 jours en 2018 avec Flow # 325


mardi 20 novembre 2018

Une expression par jour # 324

L'expression du jour (à placer dans une phrase ou un petit texte) :

En herbe
En puissance, virtuel en parlant d'individus jeunes présentant à l'état virtuel des dispositions particulières. Sens figuré au milieu du XVIIè siècle.

Ce soir, j'ai regardé le documentaire "Extra-ordinaires" qui a été diffusé à l’occasion de la Semaine européenne pour l’emploi des personnes handicapées (du 19 au 25 novembre).
Ce film m'a énormément touchée, et j'ai appris plein de choses ; on a pu écouter des personnes autistes Asperger, trisomiques, et aussi leurs parents, leurs proches, des éducateurs. J'ai toujours pensé que chaque enfant a sans doute une ou des capacités en herbe, et on croit trop souvent que les handicapés mentaux en sont privées.
Après ce document et le débat qui a suivi, mon regard a changé, s'est élargi. Merci à l'équipe du film et aux personnes qui ont eu le courage de témoigner ! On peut voir, revoir ce film en replay via internet, quelle chance !

Cycle 13, 2158è jour


Encore et toujours le bel automne !

365 jours en 2018 avec Flow # 324


lundi 19 novembre 2018

Cycle 13, 2157è jour


De la cueillette aux jardins (bio) de l'ESAT

Une expression par jour # 323

L'expression du jour (à placer dans une phrase ou un petit texte) :

Crier comme un putois
Protester d'une manière criarde, désagréable ; pousser des cris aigus 

Ce matin, à Pôle Emploi, nous avions entraînement aux entretiens d'embauche. Je suis arrivée en même temps qu'une de mes compagnes du club des femmes, et nous étions toutes les deux dans le même état d'esprit (découragées...) mais après l'exercice, moi j'avais retrouvé le moral. Je suis venue quelques minutes à l'avance afin d'imprimer les derniers courriers reçus et un CV. Pendant que je me connectais, une jeune femme est arrivée en hurlant grossièrement auprès d'un homme, tout autant grossier qu'elle ; elle était heureusement accompagnée par une amie qui tentait timidement de la calmer. Cette femme criait comme un putois alors qu'elle approchait de l'entrée et a continué en entrant dans le hall. Là, une des employés est venue lui parler avec bienveillance, lui proposant de s'isoler, de s'asseoir, de se calmer, et ce fut le cas.
Après l'entretien qui fut constructif et encourageant, j'avais un peu de temps alors j'ai filé direct aux jardins de l'ESAT afin de ramener des légumes frais ; j'ai envoyé un texto à J. pour qu'elle choisisse ; comme je lui décrivais des blettes de couleurs variées, ça lui a fait de suite envie. Je les ai cuites à l'étouffée avec un oignon et des raisins secs. J'ai mis sa part de côté et j'ai dévoré le reste de retour du ciné-rencontre. Ce fut une journée cinéma d'ailleurs. Avec le grand, revenu de chez son papa en début d'aprem, nous sommes allés voir en V.O. "les animaux fantastiques" puis j'ai enchaîné avec le documentaire "Voyage en pleine conscience" : nous étions invités à suivre "le quotidien et la philosophie de vie de la communauté du village des Pruniers situé dans le sud-ouest de la France. Ce voyage initiatique suit les pas du maître bouddhiste zen Thich Nhat Hanh et nous ouvre les portes de la pleine conscience. Tourné sur une période de 3 ans..." J'ai bien aimé ce film, plusieurs scènes m'ont touchée dont celle où des moines jouent de la musique puis chantent. Après la séance, un professeur de yoga nous a fait faire quelques exercices de respiration puis une petite méditation, c'était bien agréable. Bref, j'ai aimé ce lundi ensoleillé !





365 jours en 2018 avec Flow # 323


dimanche 18 novembre 2018

Cycle 13, 2156è jour


Ramassage de feuilles mortes...

Résolution(s) de la semaine # semaine 46

- Tenir les diverses rubriques commencées avec enthousiasme le 1er janvier

- Me tenir à LA résolution de mon grand-père maternel : lire chaque jour un mot dans le dictionnaire.

Mots de la semaine :  
Jour 1 : biopsie (n.f.) Prélèvement d'un fragment de tissu sur un être vivant en vue d'un examen 
Jour 2 : birbe (n.m.) Péj. Un vieux birbe : un vieil homme
Jour 3 : bisbille (n.f.) Fam. Petite querelle pour un motif futile.
Jour 4 : biscornu (adj) Qui a une forme irrégulière, présentant des saillies. Fam. : compliqué et bizarre.
Jour 5 : bismuth (n.m.) Métal brillant à reflets rouges, très cassant. Nom pharmaceutique du nitrate de bismuth.
Jour 6 : bisque (n.f.) Potage fait avec un coulis de crustacés.
Jour 7 : bisquer (v. intr.) Fam. Eprouver du dépit, de la mauvaise humeur. Râler. Faire bisquer quelqu'un.

- Choisir chaque semaine une ou des idées dans les bouquins suivants : "invitation à la lenteur", "l'art de la simplicité", "Mon coach bien-être", "cahier d'exercices pour aller à l'essentiel"... et dans des revues "Kaizen", "Flow", "Calme", "Respire", "Happinez"...
Y réfléchir, en appliquer certaines.


Cueillette de cette semaine :
"Plutôt que de faire plusieurs choses en même temps, s’ancrer dans l’instant présent, être reconnaissant des tâches les plus banales, faire quelque chose en y mettant tout son cœur."

Une expression par jour # 322

L'expression du jour (à placer dans une phrase ou un petit texte) :

Avoir un métro de retard
Avoir du retard, retarder sur (une idée, une invention, un comportement...)


Ce matin, je me suis réveillée très tôt, à l'heure de la cure en fait... j'ai lu puis me suis rendormi... C'est le vent qui m'avait sortie du sommeil. Je suis allée faire 2, 3 courses bien que je répugne à aller dans un magasin le dimanche, mais hier aprem, beaucoup de magasins étaient fermés, et j'avais promis à J. de lui apporter ses prochains repas. 
Il y avait encore et déjà des "gilets jaunes" autour du magasin, ils m'ont laissée passer en vélo.
Je ne suis pas restée longtemps et suis rentrée vite en espérant éviter une averse vu l'état du ciel... ben non, pas une goutte. De retour, je me suis attelée à la cuisine puis, pendant que ça cuisait, au ramassage des feuilles mortes. Cela m'a permis de me vider l'esprit, me reposer, ne pas avoir un métro de retard sur quoi que ce soit. Oh puis on est dimanche après tout !
En partant chez son père, mon grand m'a déposée chez J. qui était bien contrariée de ne pouvoir vaquer à certaines tâches. Elle a fini par accepter que je lui fasse son lit, que je change l'eau des fleurs (elle a reçu deux magnifiques bouquets, je n'ai pas osé demander à les prendre en photo). J'espère qu'elle va manger la soupe, la purée de légumes et la compote de fruits ! J'ai promis de revenir mardi pour d'autres petits plats, en espérant qu'on pourra sortir de ce régime un peu strict...




Soupe de carottes avec un soupçon de fenouil et du thym.

365 jours en 2018 avec Flow # 322


samedi 17 novembre 2018

Une expression par jour # 321

L'expression du jour (à placer dans une phrase ou un petit texte) :

Sur le déclin
Qui est en train de se terminer (la préposition sur donne au substantif verbal de décliner la valeur spatiale d'une courbe, d'une trajectoire descendante).

Comme il faisait grand soleil cet après-midi (après une matinée brumeuse, à l'image des jours précédents d'ailleurs), je suis allée faire un peu de vélo. Toutefois, la balade fut de courte durée car j'ai reçu peu après mon départ un texto de J. me demandant de passer. Son moral était sur le déclin, le docteur était passé encore ce matin. Sa gentille voisine était là quand je suis arrivée ; je suis allée à la pharmacie, puis nous avons papoté un moment au soleil. Avant de partir, j'ai remis des graines pour les oiseaux qui viennent volontiers. Comme les repas du portage ne sont pas vraiment adaptés, je vais lui apporter demain de la soupe et des légumes comme elle aime, ainsi qu'une compote maison.

52 photos en 2018 avec Bottes Rouges # 46 "banc public"




Au lac, il y a quelques jours...
(Regardez, c'est celui de ma bannière,
pris sous un autre angle)

Cycle 13, 2155è jour


ce soir...

24 heures photo # 167



ça se passe chez  http://chemindetables.over-blog.com/


Douce soirée de ce samedi

365 jours en 2018 avec Flow # 321