samedi 30 avril 2016

PolaZoom - avril 2016 # du 24 au 30


n° 24 "maisons"


n° 25 "sucré salé"
févettes gentiment sucrées,
délicieuses à déguster crues !


n° 26 "c'est la fête"
oui, c'est toujours la fête
quand on déguste un gâteau au chocolat maison !



n° 27 "jardin"
Table pour manger
en compagnie d'un jardin d'aromatiques !


n° 28 "acidulé"


n° 29 "ça brille"
après avoir enfilé ce gant
qui retient la moindre poussière !



n° 30 "petit goûter"
des dattes fraîches bio :
une tuerie !!!




n° 30bis "poésie"
Prose poétique de Joseph Delteil,
un extrait de
"La cuisine paléolithique"
A ouvrir quand on se perd en cuisine...

Cycle 13, 1226è jour


Visite de la jolie ville d'Orthez

Défi 365 jours d’écriture # 121

essais2
défi proposé par le blog de girlkissedbyfire

Le 30 Avril 2016 : Walpurgis

("fête néo-païenne qui a lieu dans la nuit du 30 avril au 1er mai. Célébrée clandestinement dans toute l'Europe depuis des temps reculés, malgré les interdits...  elle est surtout le symbole de la fin de l'hiver, parfois associée à la plantation de l'arbre de mai ou à l'embrasement de grands feux"... Source wikipedia)


- Pas moi ! répondit Fleur qui plongea la main dans le ballotin. J'adore le chocolat.

- Qui n'aime pas le chocolat ! s'exclama Petit Poussin. C'est en effet rare de tomber sur quelqu'un qui n'aime pas ça, qu'il soit noir, au lait, blanc... D'ailleurs, ça me rappelle ce couple qui  était venu le printemps dernier pour me demander un menu spécial pour fêter la nuit de Walpurgis...

- On s'en souviens, tu nous la racontée en long et en travers, l'interrompit Charles.

Et afin de ne pas vexer son cousin, il ajouta rapidement :

- Tu nous as bien fait rire avec cette mésaventure. Peut-être que quelqu'un n'a pas encore entendu cette histoire ?

366 jours de Flow # 30/04/16


A méditer, dès ce soir !

24 heures photo # 35

 


ça se passe chez  http://chemindetables.over-blog.com/


Soleil couchant dans les herbes folles...


vendredi 29 avril 2016

Cycle 13, 1225è jour


Petite balade après le dîner
que nous avons pris sur la terrasse,
chouette soirée en famille !

#FlowFleurs2016 - 29/04/2016



Délicieuses fleurs d'acacia !

366 réels à prise rapide # 29/04/16

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29 avril - Aujourd'hui comment lui dire ?

Après avoir eu un réel élan enthousiaste, elle tomba soudain dans un espèce de désespoir qui lui donnait l'impression de n'être capable de rien. Comment lui dire qu'elle va réussir son projet ? Et que même si elle craint que ça ne corresponde pas à ce que les autres attendent, l'important est de l'avoir mis en place et pris plaisir à le faire ? 
Allez, courage ma fille, ça va le faire ! On s'y mettra demain.


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366 jours de Flow # 29/04/16

Défi 365 jours d’écriture # 120

essais2
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Sujet du 29 Avril : Régime


On aurait dit que ce coup de sonnette avait rassemblé soudain tout le monde. La famille se retrouva rassemblée au complet autour d'Adèle qui avait fini de raconter un conte à une arrière-petite nièce qui riait aux éclats.
Amélie présenta un ballotin de chocolats en priant de le faire passer.

- Non, merci ! fit une voix, je suis au régime !

Les états d'esprit du vendredi [29 avril 2016]

C'est vendredi ! Le jour des états d'esprit ! lancé par Fedora et The Postman.

Jour ☞ vendredi 29 avril 2016
Heure ☞  12 h 37
Fatigue ☞ ça peut aller
Humeur ☞ Un peu anxieuse, tant que certains soucis ne seront pas réglés...)
Estomac ☞ déjeuner pris, ça va.
Condition physique ☞ Toujours les mêmes douleurs, pénibles surtout la nuit car ça me réveille dès que je remue.
Esprit ☞ un peu fatigué, ben oui...
Boulot ☞ouf, on est vendredi !
Culture ☞ demain, la visite culturelle d'une ville m'attend, suivi d'un concert. Dimanche, j'espère pouvoir aller aux Floralies, il me faut trouver un chauffeur !
Reste ☞ à continuer de préparer notre déménagement
Penser à ☞ trouver des cartons
Avis perso ☞ le fric, ça pourrit vraiment la vie
Message perso ☞ avant d'accuser, on cherche des preuves !
Loulous Petits félins ☞ Seront chez moi tout le week end
Amitiés ☞ épatantes
Love ☞ joker
Sorties ☞ voir Culture !
Divers ☞ le soleil est là aujourd'hui, ça fait du bien !
Courses ☞ marché local demain
Envie de ☞vivre une autre vie
Image du jour sera mise ce soir seulement



'Zic ☞ le chant des oiseaux au lever du soleil m'enchante
Fin ☞  12 h 45

jeudi 28 avril 2016

366 réels à prise rapide # 28/04/16

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28 avril - Aujourd'hui le confort c'est...


Aujourd'hui, le confort pour moi (qui eu bien de la chance, n'est-ce pas !), ce fut d'abord quand j'ai déjeuné avec J, comme presque tous les jeudis, puis autre moment de grand confort : être assise à la Villa, près de l'eau, avec tout plein d'autres personnes à l'occasion de la sortie de ce livre... une lecture essentielle ; vous comprendrez vite pourquoi ! 





Par contre, en soirée, quelques dizaines de personnes se sont retrouvées place de la mairie pour la 1ère vraie Nuit Debout (il n'y avait que 5 personnes aux 2 premières tentatives...), et là chacun avait quitté son propre confort pour partager un moment ! A suivre...


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Cycle 13, 1224è jour


Cette fois, il y a eu du monde 
pour la Nuit Debout ;
à suivre...
(nous sommes parties vers 22 h,
classe et travail obligent...)

#FlowFleurs2016 - 28/04/2016



Fleurs de cornouillers 



366 jours de Flow # 28/04/16




Défi 365 jours d’écriture # 119

essais2
défi proposé par le blog de girlkissedbyfire

Sujet du 28 Avril : Haïkus

Porte refermée
Sérénité retrouvée
Sourires affichés

Comment ça commence ? # mars 2016


Voici la 3ème édition du nouveau rendez-vous : « Comment ça commence ? »  un nouvel atelier d'écriture proposé par Agoaye : 
Une seule contrainte : tous les écrits du mois doivent commencer par la même amorce de phrase !

La phrase-amorce

Phrase par laquelle votre participation devra impérativement commencer : "Dehors, la lumière baissait déjà. Il n’a jamais su comment elle s’appelait…" 
Mon texte :

Dehors, la lumière baissait déjà. Il n’a jamais su comment elle s’appelait… mais il n'a jamais oublié son regard. 
Ils s'étaient rencontrés lors de la signature de son livre. 
L'auteur était assis derrière une table, encadré par un journaliste animateur et le gérant de la librairie.
La pièce était bien remplie, certaines personnes restèrent debout faute de place.
L'interview débuta à l'heure après une rapide présentation de l'écrivain. 
Les questions étaient pertinentes, les réponses également. Le thème de son dernier livre passionnait tout l'auditoire. Le titre, énigmatique, avait interpellé la curiosité de chacun, mais ce fut elle qui en parla la première lorsqu'arriva le moment de l'échange avec le public.
Elle avait de suite levé la main, et comme était assise au premier rang, on lui passa de suite le micro. 
Sa voix était claire, très légèrement voilée -peut-être l'émotion ?- et le timbre bien posé. 
Sa question fut habile, malicieuse ; elle surpris l'écrivain qui sembla s'en trouver un instant déstabilisé. Il se demanda si elle n'était pas critique littéraire ou enseignante.
Il ne le saurait jamais.
Il parla du titre de son livre mais sans répondre directement à sa question. Il découvrit une moue de déception se dessiner sur son visage et tenta alors de dévier ses mots, s'embrouilla, feignit une petite quinte de toux pour gagner du temps, mais c'était trop tard.
Il lui fit son plus beau sourire, du style de celui qu'il faisait pour la 4è de couverture de ses livres, mais cela ne fit pas disparaître la moue.
Il s'en voulait, décida de ne plus préparer ses réponses, de s'entraîner à deviser de façon impromptue, de se détendre, de lâcher prise. 
Il tourna la tête vers le journaliste en quête d'un soutien... mais celui-ci était en train de discuter à voix basse avec le gérant qui avait repris le micro.
Le libraire demanda si quelqu'un  avait une autre question, et elle leva de nouveau la main après avoir regardé autour d'elle : personne ne demandait la parole.
Le micro fut donc repris par la même interlocutrice qui posa une autre question tout aussi pernicieuse. Il était question d'un parallèle avec son 3è livre et celui-ci, par rapport à cette notion récurrente chez lui : l'exil.
Elle avait dit "votre troisième livre" et il était bien incapable de savoir quel était en réalité son troisième livre. 
Celui qui avait occasionné cette rencontre-dédicace était son 13ème, ça il en était sûr car l'éditeur avait plaisanté à ce sujet... 
Le journaliste-animateur lui sauva la mise en prenant la parole le premier et en citant le soit-disant 3è livre, mais la jeune femme l'interrompit tout net en arguant que ce livre-ci était le 4ème. 
Les deux hommes échangèrent un regard inquiet. Le journaliste consulta fiévreusement ses notes, ce qui fit sourire les auditeurs. 
Bref, la rencontre fut pour l'auteur un moment de torture, ça lui rappela lorsqu'il passait un examen. Dehors, la nuit était tombée, un petit crachin retenait les lecteurs bien à l'abri dans la librairie.
La séance de dédicace avait commencée, ça marchait bien, mais il cherchait du regard celle qui lui avait donné tant de mal à parler. Il espéra la voir dans la file d'attente. En vain. Dommage, elle avait une vision très fine sur son oeuvre et il avait déjà préparé un petit texte pour la dédicace. Décidément, il fallait qu'il perde cette habitude de tout prévoir !

mercredi 27 avril 2016

Défi 365 jours d’écriture # 118

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Sujet du 27 Avril : To do list

Retrouver ma bonne humeur

Retrouver ma bonne humeur

Retrouver ma bonne humeur...

Cycle 13, 1223è jour


366 réels à prise rapide # 27/04/16

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27 avril - Aujourd'hui orange...


Ce matin, ça allait bien mieux, ouf ! Le ciel, lui, était tout gris alors je me suis rendue au travail à pied. J'ai fait un arrêt au Conseil général départemental pour prendre en photo les jolis parterres multicolores, dont quelques pavots orange vif ! Un spectacle vitaminé !



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366 jours de Flow # 27/04/16



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mardi 26 avril 2016

Défi 365 jours d’écriture # 117

essais2 
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Sujet du 26 Avril : Décrire un personnage gros/obèse


A ce moment-là, la sonnette de la porte retentit. C'est Amélie qui alla ouvrir. Les 4 cousins l'entendirent discuter avec quelqu'un qui parlait fort et n'eurent pas de mal à l'identifier. Puis la porte claqua, ce qui fit sursauter Adèle qui était installée dans le grand salon.

- C'était qui ? demanda Adèle lorsque sa fille fut de retour.

- Rien d'important, répondit-elle en clignant de l'oeil à son mari.

Evidemment, les 4 cousins avaient reconnu cet odieux et adipeux personnage odieux.   
Et oui, c'était encore Monsieur le Maire ! Avec son double menton, ses doigts boudinés, sa bedaine flasque... 

Personne n'osa demander à Adèle ce qu'il voulait et comment ça c'était terminé !

366 jours de Flow # 26/04/16


366 réels à prise rapide # 26/04/16

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26 avril - Aujourd'hui table de...

Aujourd'hui, tout simplement, je ne me suis pas mise à table car j'avais dès le matin une sale migraine qui n'a fait que s'intensifier au fil des heures. Et par dessus le marché, une personne s'est permise de m'injurier au téléphone, ça m'a achevée... J'ai été réconfortée toutefois le soir par mes enfants, et Clara était ravie d'avoir parfaitement réussi son oral au bac blanc de français. Elle y avait énormément travaillé ! Bravo Clara !!!


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Notre glycine... 


Cycle 13, 1222è jour


au jardin...

366 réels à prise rapide # 25/04/16

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25 avril - Aujourd'hui, la famille...

La rentrée fut difficile pour une partie de ma petite famille ! Rentrés tard de chez les grands-parents, malgré une bonne nuit (trop courte), j'en ai deux qui sont restés le matin à la maison... Quant à l'aîné, il avait deux contrôles importants qui se sont bien passés. 


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lundi 25 avril 2016

366 jours de Flow # 25/04/16

Bon appétit !

#FlowFleurs2016 - 25/04/2016

 

Gracieuse ancolie trouvée au vide-jardin !

Cycle 13, 1221è jour


Notre glycine, dans le soleil couchant

Défi 365 jours d’écriture # 116

essais2

défi proposé par le blog de girlkissedbyfire


Sujet du 25 Avril : J’ai mal aux pieds !


- Et si on vous propose un exemple, ça vous reviendra sûrement, dit Agathe. Comment disiez-vous une phrase aussi banale que : "J'ai mal aux pieds."

- Attends, attends, ça va me revenir, répondit Charles en se grattent le crâne. On dira "madipébobo".

- Explique ! exigea Agathe en riant.

- "Ma" c'est pour dire que c'est moi qui parle. "dipé" c'est "pédi" en verlan pour désigner pied et bobo, pas besoin de vous faire un dessin !

Une image, une histoire chez Lakevio

 Pour voir le texte de chacun, clic sur  Lakévio 

Naomi Tydeman RI
 Naomi Tydeman 


Mon texte :

La mer s'est retirée
tout doucement
à la tombée de la nuit.
Les vagues aux couleurs feutrées
chantonnent pour la lune qui luit
et se mire mélancoliquement...
L'écume s'est faite discrète
ballotte quelques crevettes.
La mer a reculée
découvrant le sable lavande
sous des cieux sombres.
Des fumerolles se sont élevées
en mystérieuses bandes
grondant dans l'ombre.
L'immobilité remue un peu
effrayante et lourde.
La mer a basculé
dans la nuit sourde
grise et bleue.
Puis la nuit fera place
au jour, au fracas des flots,
au vent, aux oiseaux,
aux nuages qui menacent
la sérénité avec son chaos
parfois doux, parfois sonore
un rythme que j'adore.