Ma lecture (en cours) de la semaine
c'est ce livre collectif
tout à fait dans la continuité de mes lectures précédentes
et de mes préoccupations actuelles.
Dans les premières pages,
cette phrase de Gandhi :
"Soyez le changement que vous voulez voir en ce monde"
J'aime ....
RépondreSupprimerJe n'en doutais pas de ta part.
SupprimerBon dimanche, bises
Des noms incontournables, je file le commander ;-)
SupprimerBonne journée Eva
Super, bravo Pascale, tu ne seras pas déçue. Bises
SupprimerMieux vivre ensemble.
RépondreSupprimerSolution numéro un.....arrêter de penser qu'au fric,cela permettra de penser un peu aux mal qu'on fait a la planète,a d'autre être humains juste pour ces billets.
solution 2:
arrêter d’être égoïste.
en résumé c'est impossible.
je ne crois plus en la bonté de l’être humains!certes certains font exception,mais ils sont rares.
je veux pas te casser ton article mais bon,c'est vraiment ce que je pense.
Faut retirer nos œillère et voir réellement le monde,
Bonsoir Atena, moi je pense que si, c'est possible, et c'est justement en retirant nos œillères qu'on voit mieux et le négatif et le positif. Je pense qu'il est encore temps d'éviter le point de non-retour. Il y a tout plein de gens qui travaillent dans l'ombre, qui ont des idées et des propositions de solutions, certes ils ne font pas le poids mais ils agissent et nous encouragent. Je me refuse au pessimisme qui nous conforte dans l'immobilisme et la non-prise de risque, il faut agir non pour nous mais surtout pour ceux qui nous suivent, et le leur faire comprendre. Cela m'énerve qu'on traduise l'optimisme par de l'utopie. Ne baissons pas les bras. A bientôt.
SupprimerUn livre certainement très intéressant, qui ressemble à ce que j'aime lire !
RépondreSupprimerBisous Eva et bon dimanche
Cela me fait plaisir Didier. Bonne nuit.
SupprimerEt oui, le changement commence par soi-même. Montrer l'exemple, une loi de cause à effet.
RépondreSupprimerBises et bon dimanche.
Très bien dit Gaya, merci, cela répond bien au commentaire d'Atena que j'aimerais savoir convaincre. Bises
Supprimerje suis bien d'accord, ne construit on pas son bonheur soi même ?
RépondreSupprimerOui, on construit son bonheur comme son malheur d'ailleurs, il faut savoir reconnaître nos responsabilités, ne pas toujours dire que c'est à cause de l'autre. Evidemment, on n'est pas seul... Je pense qu'on ne peut pas vraiment avancer en restant dans son coin, il y a des actions pour lesquelles il est nécessaire de compter sur la solidarité, de s'unir. Tout est question de bonne volonté. Bises
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