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Oeuvre de Marion Tivital
(suite des épisodes précédents)
Après la séance de lèche-vitrines, la jeune fille enfourcha de nouveau sa mobylette et le commissaire s'engouffra dans sa voiture ; la course poursuite repris. Au fil des km, le ciel se couvrit. Le paysage changea également, on se serait cru dans un autre monde. Quelle ne fut la stupéfaction du commissaire de déboucher soudain sur un vaste terrain nu, désolant et empli d'un silence glacial. Une vieille caravane trônait. Le coin semblait désert, mais du linge flottait au vent. Fasciné par ce tableau, le commissaire se rendit compte soudain que la mobylette avait échappée à sa surveillance. Aucun bruit et aucun mouvement hormis ce linge qui claquait au vent par intermittence.
Le commissaire sortit de la voiture et s'avança, ne sachant que penser. Il s'apprêtait à toquer à la porte lorsqu'il cru entendre un étrange rire...
La jeune fille lui a-t-elle joué un tour??? Bise, bon dimanche tout doux!
RépondreSupprimerElle le mène en bateau depuis le début, on ne sait pas encore dans quel but... Affaire à suivre. Bonne soirée Maria-Lina
SupprimerTrès sympa cette peinture, j'aime beaucoup.
RépondreSupprimerBonne soirée Eva
On pourrait imaginer des tas d'histoires autour de cette peinture... Bonne soirée Pascale.
SupprimerÉtrange tableau qui pourrait illustrer la solitude !
RépondreSupprimerTu te débrouille bien pour nous laisser en plein suspense !
Si je ne m'étais pas embarquée dans ce récit policier, j'aurais fait un tout autre texte lié à la triste actualité.
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