http://www.bricabook.fr/
© Julien Ribot
Mon texte :
Quand les derniers occupants nous quittent,
que les familles restent en ville,
que le temps laisse sa marque,
que la tristesse pose un voile sur la façade qui s'écaille,
que l'oubli tombe inexorablement...
la badaud de passage jette un œil,
parfois indifférent,
parfois inquisiteur.
L'un se met à imaginer la vie qu'il y eu derrière ces murs,
a le cœur gros devant cet abandon,
soupire, et s'éloigne à son tour...
Quand les derniers occupants nous quittent,
que les familles restent en ville,
que le temps laisse sa marque,
que la tristesse pose un voile sur la façade qui s'écaille,
que l'oubli tombe inexorablement...
la badaud de passage jette un œil,
parfois indifférent,
parfois inquisiteur.
L'un se met à imaginer la vie qu'il y eu derrière ces murs,
a le cœur gros devant cet abandon,
soupire, et s'éloigne à son tour...
C'est un beau texte qui reflète bien la réalité de ces maisons abandonnées.
RépondreSupprimerMerci !
SupprimerC'est pas souvent que les murs parlent ... mais ils le font très joliment ...
RépondreSupprimerOh si, la plupart parlent, mais plus ou moins fort, plus ou moins clairement...
SupprimerBrève mais efficace évocation. C'est tout-à-fait cela.
RépondreSupprimerCe WE j'ai traversé des villages aux 3/4 vides, aux commerces fermés, et j'ai pensé à ce que pouvait y être la vie, il y a seulement 30 ans. Soupir ...
Il y a en effet des coins totalement désertés, ça fait triste... Soupir...
SupprimerTriste destin que celui d'une maison qui finira abandonnée :(
RépondreSupprimerOui, triste destin !
Supprimer