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© Kot
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Mon texte :
La nuit, pour elle, c'est la Peur. Avec un P majuscule.
Elle en a toujours eu peur.
La nuit l'étouffe, car l'obscurité efface les repères et les limites.
Dans le noir, elle est comme dans une immensité aquatique sans fond, une matière glacée et immobile, un espace éternel qui l'angoisse.
La nuit étrangle ses pensées et son souffle.
Même en dépit de lueurs artificielles.
Elle sombre avec délice dans un sommeil qui la conduira vers l'aube et la lumière du soleil ; même si le soleil se cache derrière la masse nuageuse, elle sait qu'il est là, tout proche.
Selon les saisons, la nuit grandit ou diminue, et sa peur avec.
La nuit, pour elle, c'est la Peur. Avec un P majuscule.
Elle en a toujours eu peur.
La nuit l'étouffe, car l'obscurité efface les repères et les limites.
Dans le noir, elle est comme dans une immensité aquatique sans fond, une matière glacée et immobile, un espace éternel qui l'angoisse.
La nuit étrangle ses pensées et son souffle.
Même en dépit de lueurs artificielles.
Elle sombre avec délice dans un sommeil qui la conduira vers l'aube et la lumière du soleil ; même si le soleil se cache derrière la masse nuageuse, elle sait qu'il est là, tout proche.
Selon les saisons, la nuit grandit ou diminue, et sa peur avec.
Très bien écrit.
RépondreSupprimerC'est gentil ! Merci
Supprimerah oui, on sent une terrible peur!
RépondreSupprimerLa peur, comme chez Nimentrix !
RépondreSupprimerJ'aime bien l'image de la nuit qui étrangle. Et aussi dormir pour ne pas avoir peur.