365 photos du quotidien (semaine 11)

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http://www.virginiebichet.org

# lundi 10

Ne rien faire d'autre que tousser, le tout exacerbé par le pollen...
ne même pas pouvoir aller au cours de photo,
c'est dire ! et pourtant il fait si beau !

# mardi 11

Nous allons voir le spectacle de danse "Rage"
chorégraphie d'Anthony Egéa
avec 6 danseurs fabuleux, venus de pays différents :
Mali, Gabon, Union des Comores, Burkina Faso, Congo, République Centrafricaine.
Pour voir une très belle vidéo, clic sur
http://www.leprisme.agglo-sqy.fr/programmation/detail/evenement/rage/

Photo du net

Photo du net

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"Organisé par séquences, la chorégraphie campe des moments de vie : longues attentes solitaires, défoulement dans les boîtes de nuit au son bien crado, rixes, réunions de groupe avec l’envie de construire ensemble, appels à la révolution. Toute l’Afrique est là, dans sa fragilité, sa violence imprévisible. La chorégraphie s’appuie sur chacun des danseurs, les met en valeur, autorise une expression personnelle qui n’empêche pas les délires collectifs. Les interprètes sont pris de tics, ont des impatiences dans les mains et le dos." 
in Libération du 11/04/12
Ce spectacle marquera votre mémoire, surtout pour son ambiance.
A l'issue de la représentation, le chorégraphe présente chaque danseur
qui, chacun à son tour,  nous offre une démonstration de quelques figures spectaculaires.

# mercredi 12

Clara s'inscrit au concours de peinture de notre ville. A suivre en avril...

# jeudi 13
Dans notre boîte à lettres,
nous découvrons la toute dernière publication de Philippe CHAMBON
M E R C I    Phil !!!
Vite, courrez vers son blog
http://fildefer.over-blog.fr/

Puis le soir, au ciné club,
nous allons sur "les plages d’Agnès"

Moi, Agnès Varda, je l'adore ! depuis toujours.
A l'époque de ce documentaire, en 2008, elle avait fêté ses 80 balais,
vous comprendrez pourquoi je le dis ainsi en voyant ce film.

"Varda se montre à plusieurs reprises marchant à l'envers pour signifier qu'elle va vers son passé. Mais c'est l'exercice même de l'autobiographie qu'elle aborde à reculons. Pour elle qui s'est passionnée toute sa vie pour les êtres et les choses qui l'entouraient, où qu'elle se trouvât – en Chine, à Los Angeles, à Cuba, ou rue Daguerre, à Paris –, il ne va pas de soi de passer du statut de regardante à celui de regardée, et qui regarde la caméra. D'où un léger trac charmant, qui parfois creuse des gouffres dans sa voix...  A Bruxelles, dans la maison où elle a vécu enfant et où elle n'était jamais retournée depuis, voilà qu'elle s'intéresse davantage aux habitants actuels (un fanatique de trains et son épouse) qu'aux fantômes du passé. On est glaneuse ou on ne l'est pas. Même à l'heure de l'inventaire, le présent reste une fête, un cabinet de curiosités... Varda évoque sa vie avec Jacques Demy, plages de solitude comprises. Elle prononce pour la première fois le mot « sida » à propos du cinéaste, « le plus chéri des morts ». Elle pleure Jean Vilar, qui a fait d'elle la première photographe du festival d'Avignon, et Delphine Seyrig, la fée de Demy, sa camarade en féminisme. Mère et grand-mère comblée mais pas aveuglée, elle ose aussi une remarquable déclaration d'indépendance en se demandant, à propos des siens, si elle les connaît ou les comprend"  Extrait de Télérama du 17/12/2008

# vendredi 14
Soirée télé en famille avec le concert des enfoirés
et une délicieuse pizza maison au thon.

# samedi 15
Après un délicieux déjeuner irlandais, St-Patrick oblige,
j'assiste à un concert de musique espagnole à la Médiathèque
puis à une soirée basque... que de voyages en quelques heures !!!

A la fin du spectacle, le chœur de femmes "Enara"
rejoint le chœur d'hommes "Bihotzez"
pour finir en apothéose !
S'ils se produisent dans votre région,
ne les manquez pas !

# dimanche 16
Apprécier le printemps des poètes
dans un petit village aux environs...

Puis aller au cinéma dans le cadre du Printemps du Cinéma,

3 euros 50 la place, ça vaut le coup !

Et adorer ce film !