mercredi 14 mars 2018

Leçons de vie de Stephen Hawking

J'ai été triste ce matin en apprenant la disparition de Stephen Hawking.
Des journalistes n'ont pas manqué de faire remarquer qu'il était mort non seulement en cette journée de π (explication : cette journée s'écrit 3/14 en date à l'américaine, puisqu'on indique généralement le nombre π : 3,14. On la célèbre généralement à 1h59 : 3,14159) mais aussi le jour anniversaire de la date de naissance d'Albert Einstein.
Je découvre aussi dans un autre article qu'il est né le 8 janvier 1942, 300 ans jour pour jour après la mort de Galilée.
J'ai connu ce scientifique comme la plupart des gens en lisant sa "brève histoire du temps", heureusement qu'il y a des ouvrages de vulgarisation pour parvenir à comprendre certains domaines!
Et puis j'avais vu au cinéma avec les enfants "Une merveilleuse histoire du temps" et ce n'était pas évident pour moi d'aller voir ce film dans la mesure où mon papa avait la même maladie (la SLA).
Je suis allée dans son site, on peut y visionner des documentaires (en anglais).
Je suis également tombée sur une courte vidéo où il donnait ces 5 conseils à suivre toute notre vie. Je vous les résume :

1. Profiter de la vie qui est courte

2. Se concentrer sur les choses importantes

3. Rester toujours curieux

4. Résister à l'auto-apitoiement

5. Refuser les frontières : poursuivre malgré les barrières

Merci Monsieur Hawking !

4 commentaires:

  1. Un exemple exceptionnel, pour tout ... l'intelligence, le courage, la simplicité !
    Je n'ai pas lu son ouvrage, j'avoue que ça me fait un peu peur, malgré la vulgarisation ...
    J'aime à lire les conseils de vie !
    On a du mal à imaginer une vie avec cette maladie ... Tu dois avoir de durs souvenirs ...
    Bises

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    1. C'est surtout pour notre mère que ce fut éprouvant. Nous y sommes allés à chaque vacance scolaire avec les enfants (un enfant à la fois) et la dernière fut Clara qui a vu son grand-père dans un état assez avancé (nourri par sonde, pas de communication orale directe...) et ça n'était pas du tout facile, nous n'étions pas préparés ; les enfants prennent les choses de façon plus simple... Ce n'est qu'après sa disparition que j'ai appris des tas de choses sur cette maladie, dommage. Et surtout, j'aurais aimé y aller plus souvent mais entre la distance et le travail, pas facile... à l'époque, je n'ai pas su mesurer les urgences. On a souvent des regrets dans ce genre de circonstances. Bises

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    2. C'est sûr que c'est en grandissant que l'on se rend compte de ce que l'on aurait dû faire ou dire ... mais on ne peut pas penser pareil quand on est jeune !

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    3. ça, on le fait à tout âge... Heureusement, on évolue sans arrêt.

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